SOPK diagnostic
Vivre avec le SOPK - Blog

Mon diagnostic SOPK : ce que j’aurais aimé savoir

Diagnostic SOPK

Quand on parle du SOPK (syndrome des ovaires polykystiques), on pense souvent aux kystes ou aux règles irrégulières. Mais ce qu’on oublie de dire, c’est tout le chemin avant et après le diagnostic. Aujourd’hui, je partage mon expérience pour aider celles qui sont peut-être en plein dedans.

Les premiers signes que quelque chose n’allait pas

À l’époque, je ne prenais plus la pilule et je n’étais pas tombée enceinte. J’avais aussi pris du poids, sans avoir changé mon hygiène de vie. Je dormais beaucoup, j’étais épuisée, et je ne comprenais pas pourquoi.

Ce que je ne savais pas, c’est que tous ces petits signaux pouvaient être liés au SOPK.

Le diagnostic SOPK : examens et résultats

Quand je suis allée consulter une gynéco, je pensais qu’on allait juste vérifier si “tout allait bien”. Finalement, j’ai eu droit à une batterie d’examens :

  • Échographie pelvienne pour voir les ovaires
  • Dosages hormonaux (FSH, LH, prolactine, testostérone…)
  • Analyse de la glycémie et autres bilans

Le verdict est tombé : syndrome des ovaires polykystiques.

La phrase de la gynéco reste gravée : “Revenez me voir quand vous voudrez avoir un enfant.”
Sauf que… entre-temps, je devais continuer à vivre avec ça.

Ce que j’aurais aimé savoir dès le départ

On m’a surtout parlé de la pilule comme solution, mais pas du fait que le SOPK allait impacter ma vie bien au-delà des cycles menstruels.

Ce que j’aurais aimé qu’on m’explique clairement :

  • pourquoi j’étais si fatiguée
  • pourquoi j’avais autant besoin de dormir
  • pourquoi ma prise de poids n’avait rien à voir avec de “mauvaises habitudes”
  • et surtout que ce syndrome demande un vrai changement de mode de vie (alimentation, activité physique, suivi médical).

Et après le diagnostic ?

Ce qui m’a manqué, c’est un accompagnement humain. Pas juste un “venez me voir quand vous voudrez être enceinte”, mais une explication concrète de ce que le SOPK voulait dire au quotidien.

C’est aussi pour ça que j’ai lancé ce blog : pour partager, comprendre et avancer ensemble.


📌 À retenir

  • Le diagnostic du SOPK repose sur plusieurs examens (échographie + bilans hormonaux).
  • Le SOPK n’est pas “juste des kystes” : c’est un syndrome qui peut impacter le poids, la fertilité, la fatigue et même la confiance en soi.
  • Être bien informée dès le départ change tout.

Si tu veux mieux comprendre les termes médicaux autour du SOPK, je t’invite à consulter mon Dico du SOPK.


💬 Et toi, comment ça s’est passé ton diagnostic ? Est-ce qu’on t’a donné des explications, ou juste une phrase expédiée comme la mienne ?

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